Concert, Julien Doré chez lui à Nimes, victime d'une panne de fibre optique
Posté : 3 juil. 2022, 19:40
Bonsoir,
je ne suis pas certain d'avoir posté cette anecdote dans la bonne rubrique...
Les boitiers de scènes "stagebox" et la fin des lourds, fragiles et couteux multipaires audio n'ont pas supprimé les risques de pannes !
apparemment un souci de liaison entre console et scène, relaté dans le Midi Libre de ce jour :
tout d'abord ici
"D’autant plus qu'il a fallu affronter quelques rebondissements assez inattendus. Il y a eu d'abord ces quelques gouttes qui n'ont pas réussi à éteindre le brasier des arènes. Mais surtout... le couac technique.
Julien Doré fait le coup de la panne
Alors qu'il achève son "Coco câline", repris sous forme de karaoké par le peuple des arènes, c'est la panne de son... "Je suis en train de vivre ce que je vis en Cévennes, où j'ai juste la 3G. Ici, on vient de me dire à l'oreillette qu'on a cassé la fibre... Je sais pas, faut appeler Bouygues...", lâche alors l'artiste, qui ne perd pas son humour et sa bonne humeur. D'autant que le public le soutient, entre ola et reprise en chœur des chansons"
ensuite là
"Ceux, nombreux, qui ont assisté au concert de Julien Doré, jeudi dans les arènes, se souviendront longtemps du spectacle, interrompu pour une panne technique.
Avec humour, comme il a l'habitude de le faire sur les réseaux sociaux, Julien Doré est revenu sur la panne de fibre qui a interrompu le spectacle, après la troisième chanson.
Alors que tout allait presque bien, mis à part quelques gouttes d'une averse vraiment pas prévue, le chanteur a été obligé de prendre la parole pour expliquer qu'une panne de fibre, la liaison entre la scène et les consoles techniques, allait contraindre à une interruption du spectacle.
Improvisant alors, maniant le verbe comme il sait le faire, il a ironisé sur la situation lui rappelant qu'en Cévennes, la fibre, il l'attend toujours. Un petit moment de grande solitude face à 12 500 spectateurs. Mais qu'il a su gérer avec humour.
L'artiste a, ce dimanche, posté une vidéo de ce moment, immortalisant à jamais ce couac. "
je ne suis pas certain d'avoir posté cette anecdote dans la bonne rubrique...
Les boitiers de scènes "stagebox" et la fin des lourds, fragiles et couteux multipaires audio n'ont pas supprimé les risques de pannes !
apparemment un souci de liaison entre console et scène, relaté dans le Midi Libre de ce jour :
tout d'abord ici
"D’autant plus qu'il a fallu affronter quelques rebondissements assez inattendus. Il y a eu d'abord ces quelques gouttes qui n'ont pas réussi à éteindre le brasier des arènes. Mais surtout... le couac technique.
Julien Doré fait le coup de la panne
Alors qu'il achève son "Coco câline", repris sous forme de karaoké par le peuple des arènes, c'est la panne de son... "Je suis en train de vivre ce que je vis en Cévennes, où j'ai juste la 3G. Ici, on vient de me dire à l'oreillette qu'on a cassé la fibre... Je sais pas, faut appeler Bouygues...", lâche alors l'artiste, qui ne perd pas son humour et sa bonne humeur. D'autant que le public le soutient, entre ola et reprise en chœur des chansons"
ensuite là
"Ceux, nombreux, qui ont assisté au concert de Julien Doré, jeudi dans les arènes, se souviendront longtemps du spectacle, interrompu pour une panne technique.
Avec humour, comme il a l'habitude de le faire sur les réseaux sociaux, Julien Doré est revenu sur la panne de fibre qui a interrompu le spectacle, après la troisième chanson.
Alors que tout allait presque bien, mis à part quelques gouttes d'une averse vraiment pas prévue, le chanteur a été obligé de prendre la parole pour expliquer qu'une panne de fibre, la liaison entre la scène et les consoles techniques, allait contraindre à une interruption du spectacle.
Improvisant alors, maniant le verbe comme il sait le faire, il a ironisé sur la situation lui rappelant qu'en Cévennes, la fibre, il l'attend toujours. Un petit moment de grande solitude face à 12 500 spectateurs. Mais qu'il a su gérer avec humour.
L'artiste a, ce dimanche, posté une vidéo de ce moment, immortalisant à jamais ce couac. "