Mon bon,
Bien, alors le résultat, me demande Mô
Voila j'y viens:
Une guitare classique, un bandonéon, une flute traversière.
Je suis parti du postulat que trois musiciens qui jouent du répertoire de Piazzola, doivent jouer tout en finesse, avec sensualité, et avec une vigueur empreinte de lamento.
Donc j'ai pensé que le statique était le meilleur choix, mais comment faire pour ne pas encombrer la scène de pieds perches, et verrouiller l'espace.
Une bricole de théâtre, bien sûr, des micros sur socle bois, isolé du sol avec deux couches d'antiglisse, et le chevalet équipé d'un montage micro.
Et bien, des louanges, du public, et surtout des ziccos, une sonorisation lumineuse, tous les instrus placés, et une équal se résumant à virer les basses.. le reste un pouillème de correction ( faut bien que l'on serve à qqchose.)
Ils étaient enchantés, dixit "car souvent dans leur prestats, la sono était une horreur…".
Sur une scène non poluée, c'est un régal, et je vous assure que les mics au sol captent le son d'une guitare classique finger in thé nose….
Morice sur des classique pas agités tente ce système ….
Pour la diff 4 HPR QSC en arc de cercle, délayée de 2,50M et 1,80 m pour compenser l'arc et placer la focale à environ 0,5 m derrière les musiciens.
Equal néant aux basses, -1 à - 2 db sur la plage 1K 4 K je ne me souvient pas vraiment… Un diff cohérente jusqu'à 12 m fond de salle ou ce trouvait la table des officiels ((mdr…)
B enchantés les ziccos en répète
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