Charly
écoutes le Ziggy : de temps en temps, il donne d'excellents conseils
au dela de tout ça : il faut que tu comprennes, un fois pour toute, que ton micro TU NE L'ENTENDRAS PAS COMME NOUS.
C'est physiologique, et dépend essentiellement de ce tu attends de ton écoute sur l'instant (pas une heure après, non non maintenant quand tu l'auras placé)
Tu t'es modelé, inconsciemment, une réponse acoustique dictée par le taff que tu vas mettre en oeuvre à partir d'un certain niveau de qualité, bien sur.
Il m'arrive très souvent (et je ne suis pas le seul), en soirée de démuter et me dire....tu aurais dû mettre tel ou tel capteur (oui, je me tutoies courramment) ceci indépendamment du contexte balance salle vide/pleine.
C'est "l'instant" et tu t'es pré-programmé une réponse.
Ca s'arrange après avoir bû un coup (d'eau : à quoi tu pensais ?)
Chez ton micro, une fois acquis, tu trouveras le pire et le meilleur d'où la vente permanente des grands standards : le moins mauvais compromis en sorte.
Car n'oublions pas, encore une fois, un élément extrêmement important de notre action (sonorisation) :
C'est parce que le public est venu nombreux, que la jauge est importante, la salle vaste
QUE NOUS SOMMES LA
Sinon nos copains musiciens, crois-moi, se passeraient bien de nos appareils à "faire du bruit".
Nous sommes là, en situation de Live, "pour rendre audible" et permettre de percevoir "des sensations" (j'suis sensuel aujourd'hui, non ?

) du mieux que nous le pouvons pour le public qui a payé.
cdlt
gérard